Je veux pas vieillir.
Je menace le temps,
lui mets le couteau sur la gorge.
Je détourne les règles en brisant les sabliers,
les tic tac se taisent et les minutes se figent.
Je défroque la raison,
pour mieux rire de tout,
accumule les frasques en frayant avec les souvenirs volages.
Je renverse le temps.
le passé soudain est mon présent,
cadeau sans emballage,
je le conserve précieusement.
Je débauche ma montre en chamboulant les aiguilles,
de mes lèvres je happe les tours de l'heure les tours de garde.
Je suis la criminelle de l'esprit qui fugue en pensées,
je suis la supecte flouée qui fait le mur pour te retrouver.
Dans ce monde en suspens,
plus aucune loi, toutes au rebut.
Sur ma banderole la passion,
je défile au pas de valse,
sur les pavés du combat,
qui défigurent ma plage.
Cent fois une révolution,
c'est le quart d'heure des ahuris,
le temps soudain se paralyse.
je chante mon coeur en sérénade,
que le tempo rebelle et la mèche cachée.
"Je t'aime encore", je crie.
Slogan ultime martelé sur le parvis
des églises aux cloches muettes.
Mais tes oreilles mon ange,
sont des pavillons clos.
Je veux rester l'enfant,
je veux restée ta môme,
savourant des baisers de contrebande,
planquée avec toi sous les draps.
Je veux tes cheveux sous mes doigts,
comme des rubans soyeux,
comme des chemins au loin,
roulés sur mon oreiller.
Amour, amour.
Je veux toi.
Je menace le temps,
lui mets le couteau sur la gorge.
Je détourne les règles en brisant les sabliers,
les tic tac se taisent et les minutes se figent.
Je défroque la raison,
pour mieux rire de tout,
accumule les frasques en frayant avec les souvenirs volages.
Je renverse le temps.
le passé soudain est mon présent,
cadeau sans emballage,
je le conserve précieusement.
Je débauche ma montre en chamboulant les aiguilles,
de mes lèvres je happe les tours de l'heure les tours de garde.
Je suis la criminelle de l'esprit qui fugue en pensées,
je suis la supecte flouée qui fait le mur pour te retrouver.
Dans ce monde en suspens,
plus aucune loi, toutes au rebut.
Sur ma banderole la passion,
je défile au pas de valse,
sur les pavés du combat,
qui défigurent ma plage.
Cent fois une révolution,
c'est le quart d'heure des ahuris,
le temps soudain se paralyse.
je chante mon coeur en sérénade,
que le tempo rebelle et la mèche cachée.
"Je t'aime encore", je crie.
Slogan ultime martelé sur le parvis
des églises aux cloches muettes.
Mais tes oreilles mon ange,
sont des pavillons clos.
Je veux rester l'enfant,
je veux restée ta môme,
savourant des baisers de contrebande,
planquée avec toi sous les draps.
Je veux tes cheveux sous mes doigts,
comme des rubans soyeux,
comme des chemins au loin,
roulés sur mon oreiller.
Amour, amour.
Je veux toi.
2 commentaires:
Hey! Mais ça fait pleurer, ça...
tiens v'là un mouchoir pour tes beaux yeux ma minette!
pis, c'est lui qui fait pleurer, surtout.
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