dimanche 18 février 2007

Etoile et murmures

Merci.

Le mot précieux.
A ne pas gaspiller.

Je fais une petite parenthèse, dans ce blog en pagaille.

Une pause maladroite, où je sens que ma prose coule mal, qu'elle s'extrait en contre-balancé, en salto raté et tremblements.

Je ne pensais pas te raconter ça.
Mais tu m'inspires en grand.

(t'es mon secret)

Des fois j'ai l'impression que tu m'évites, que tu creuses une tranchée entre toi et moi.
Mais ce soir, tu étais là.

Ce soir tu m'a écoutée.

Si je te dis que j'aimerais passer plus de temps avec toi,
que j'ai envie de mieux te connaître,
tu vas encore répondre que j'ai trop d'appétit.

Alors je ne te dirai rien.

Simplement ce mot là, avec plein de bidules merveilleux dedans.

( à toi de les chercher)

Merci...

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Souvent la parcimonie est l'abondance du coeur... il faudrait tremper chaque mot dans un grand bol de silence avant de les porter à sa bouche...