jeudi 9 août 2007

A Toutes les Lolas...

J'arrête là.

Non, je ne baisse pas les bras,
au contraire je les lève au ciel,
trouées les manches,
mal foutue, une planche
tronche de mie de pain.


Le Théâtre son double,
son autre, son essence.

La danse.
Communiante nue sur l'estrade.
On jette de l'eau.
Cri un vers de trop.
Eclat, du sang.

Dans le Tango se glisser, oublier les palabres inutiles,
dont on a trop fait étalage.
et t'as l'âge d'oublier, désormais.

Le texte s'éloigne, l'ancre fond à la saison des pluies,
quand les bateaux repartent.
a quai, a corps, à criques.

à quoi. rium.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Non, j'rigole pas quand je dis que je pleure, j'rigole pas. C'est beau toi, ça chante, ça remue le ventre. Je ne le connaîs pas, ce monde doré dont tu parles si bien, je ne connaîs pas ces gens qui dansent sur ton coeur. J'suis pas grand chose mais je suis suffisamment pour te faire du mal, un peu. J'ai envie de te voir, de boire un coup avec plein de gens qui ne feraient pas la gueule et qui auraient des dents très blanches pour sourire. Je pense à toi.

Anonyme a dit…

'regarde le ciel du soir,
on voit tous le même ciel... tu y verras mes étoiles à moi, mes papillons... de moi à toi... et du bonheur, un sourire, du réconfort... de l'amitié.